ANTRE

* Demande une hydromel a la serveuse. Avant de se concentrer sur la conversation et détailler la salle du regard.

La serveuse demande donc aux autres se qu'ils désirent boire, tout en essuyant la table d'un torchon à la propreté douteuse.

Karl demandera un verre de vin rouge et écoutera Amanda et Adam avant de s'exprimer.

"Pour ce qui est de cette soit disant confrérie je ne peux vous dire grand chose. Par contre il faut que je vous parle du capitaine du bateau que nous allons rencontrer.

*Karl fait une légère pause comme pour soupeser ses mots*

Pour faire simple. Aucun impaire ne nous est permit. Je connais cette homme et au moindre mot de travers il égorgera sans la moindre hésitation n'importe lequel d'entre nous. Souvenez vous de cela quand vous lui parlerez."

Antoine demande un verre de vin de Charoux, puis, lorsque la serveuse se sera écarté :

"Je ne crois pas qu'une connaissance de mon père, et en qui il a confiance qui plus est, soit capable d'entâcher sa lame de nôtre sang..."

"Votre père le connait, c'est justement pour cela nous pouvons nous fiez à lui pour le voyage...
Mais je le connais aussi et penser qu'il ne vous fera aucun mal est une énorme erreur."

*Karl soupir*

"Mais j'ose espéré qu'aucun d'entre nous n'aura l'idée stupide d'essayer de le vexer et que nous nous comporterons tous correctement."

Antoine semble peu rassuré. Il ravale sa glotte et profite du passage de la serveuse pour prendre son verre de vin et boire.

La serveuse, avec un joli sourire : "Cela fera 10 cents par verre de vin et 50 cents pour l'hydromel."

Antoine dépose 10 cents sur le plateau en rendant le sourire de la serveuse.

* Dépose l'argent sur la table pour son hydromel et après avoir sirote la boisson un petit avant de prendre la parole a l'attention de Karl *

Ce que vous nous dites-la est de bien mauvaise augure. J'imagine que ce genre d'individus nous provoquerait peut-être a ce genre de déviance?
Dans tout les cas je suggère une prudence accru et de faire extrêmement attention.

* Reprend une gorgée de sa boisson, un main sur son épée, posée sur sa cuisse *

<Amanda se tourne vers Adam Caelan>

Quant est-il de vous Sir Caelan ? Avez-vous eu l'opportunité de récupérer quelques informations utiles ? Ou au moins une bonne nouvelle?
Parce que si j'en crois les informations récupérées jusqu'alors, nous avons un danger derrière nous et un danger devant nous.

< Pose son verre et prend un air pensif, la main serrée sur la poignée de son épée. >

Malheureusement non, la confusion qui régnait en ville ne m'a pas donne l'occasion de récolter autre chose que de vagues rumeurs et autres colportages n'ayant ni queue ni tête je le crains.

< Avant de reprendre un gorgée, en regardant les autres. >

<Maintenant Amanda se tourne vers Antoine.>

Signore Antoine, vous vous sentez bien ?

C'est l'annonce de notre potentielle mise en danger qui vous met dans cet état ou la menace pesante sur votre père ?

<Antoine regarde Amanda>

À vrai dire, c'est surtout le fait de sortir de chez moi qui me préoccupe... J'ai jamais vraiment eu le temps de partir ou de faire autre chose que mon métier de scribe. D'ailleurs, je ne sais même pas tenir une épée...

<Lance un bref regard vers Antoine>

Tout le monde à sa place dans le monde. Contentez vous de remplir la votre durant ce voyage et laissez les épées à ceux qui en font leur profession.

<Retourne à son observation de la salle>

<Paye la serveuse pour le verre et acquiesce en direction de Viktor>

Comme le fait si bien remarqué Viktor, nous avons tous notre rôle à jouer ici bas. Il est inutile d'essayer de tenir une place qui n'est pas votre. Cela ne vous apportera que malheur et inconfort.

<Se tourne vers Adam>

Je ne le pense pas capable de nous provoquer par contre je le crois capable de pousser ses droits jusqu'au bout. Si vous penser qu'il vous provoque essayer de voir ca comme une démonstration de force pour ses hommes...
Aucun général d'armée ne se laisserait insulter sans réagir devant ses troupes, il en va de même pour un capitaine de navire.
C'est pourquoi, si nous nous comportons bien, tout se passera bien.

<Antoine pose son verre et se tourne vers Karl>

Eh bien dites moi, il a l'air sympathique ce capitaine Addis, et vous semblez le connaître aussi bien que mon père. D'où le connaissez-vous ?

<Karl goûtera lentement le vin tout en fixant Antoine>

Disons simplement que votre père n'est pas le seul au monde à faire des affaires.
Mais je ne peux que me surprendre du manque d'information que vous a donné votre père.

Que savez vous sur notre petite aventure ?