Campagne de Horianus : L'aventure Fantastique !

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horianus
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Campagne de Horianus : L'aventure Fantastique !

Message par horianus »

Très cher amis voici le post pour noter les résumer de la Campagne ! Je sais que certain d'entre vous ne veulent pas le faire, mais il me semble essentiel qu'un post doit être actif !

Il me semble évident que donner les informations que tout les personnages savent me semble des plus important, comme préciser se que se que peuvent savoir les joueurs de façons Meta ! En suite c'est vous qui faite comme bon vous semble !

Le Scénario l'Oncle et le Chancelier et maintenant terminée, la distribution de l’expérience à été faite !

Nous allons passez à un autre Scénario qui portera le nom de : L'impératrice et le Voyage !

Je signale que j'ai laisser beaucoup de hors rôle play se faire pendant l'ancien scénario, mais que a partir de la prochaine séance qui donnera lieux au début du prochain scénario et bien je considérerais que tout qui se dit à ma table sera Rôle Play !

Si vous avez des questions ou des suggestion n'hésiter pas à me le signaler, soit en message privé, soit sur ce post !

Donc maintenant je laisse les joueurs Actuelle de la campagne mettre les notes qui veulent partager pour leur confrère absent !

Merci a vous de participer à se post !

Amicalement Horianus

xeminios
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Inscription : 04 nov. 2014, 22:39

Re: Campagne de Horianus : L'aventure Fantastique !

Message par xeminios »

Je ferait comme je peut pour ne pas faire du hrp
Raogi
Messages : 354
Inscription : 11 févr. 2012, 09:31

Re: Campagne de Horianus : L'aventure Fantastique !

Message par Raogi »

[HRP]S'il y a des erreurs ou des incohérences, faîtes m'en part assez rapidement, que je corrige. Nag amuse-toi bien, bonne lecture.[/HRP]

Après plusieurs longues heures... ou journées... je crois me souvenir qu'une servante est venue à plusieurs reprises m'apporter de quoi me restaurer et faire mes ablutions... passées à décortiquer les comptes, les archives et tous les documents administratifs du duché, j'émergeai de mon antre temporaire, bredouille et fatigué, pour retrouver mes compagnons à table avec le chef de la milice. Je notai l'absence de notre noble Ussuran, mais n'y prêtai guère attention. Après notre dernière discussion, il devait être des plus occupés, lui aussi.

Alors que je me restaurai, j'appris assez vite que mes compagnons n'avaient pas chômé et que la situation avait diablement évolué.
Le Duc Pierre-Flaubert de Douard et son conseiller, Jean-Patrice de Gallioni, étaient morts en mon « absence », de mort naturelle, comme mon diagnostic le prédisait.
Chacun avait laissé un testament, et on me laissa plus tard dans la confidence quant au fait que le testament du Duc lègue tout pouvoir à sa nièce Demoiselle Eloïse Flaubert pour gouverner sur ses terres, et le testament de son conseiller révélait que Eloïse n'était autre que la fille du capitaine de la milice. Depuis, la jeune femme semble aller de syncope en syncope, mais la Vicomtesse Adelaine de Bonois s'occupe d'elle avec la plus grande diligence. Peut-être même trop de diligence, mais cessons là les possibles commérages.
Le capitaine de la garde ainsi que sa garde sont tous morts. Ils auraient apparemment été exécutés pour les motifs suivants : le capitaine de la garde se serait rendu responsable des meurtres perpétrés dans la région et sa garde aurait attenté à la vie de Demoiselle Flaubert.

J'avoue avoir eu du mal à comprendre les dires de mes camarades, et ce pour 2 raisons.
J'étais fort amusé et me suis fendu de quelques piques à l'égard de Mademoiselle Cavaletto. Cette dernière s'est permise de tenter un assaut frontal, qui s'est soldé par un échec des plus cuisants.
Par contre, les piques et lancés d'argenterie entre Mademoiselle Cavaletto et le « faux » capitaine Flint, dignes d'enfants en bas-âge, ont eu le don de me déconcentrer et de m'affliger à la fois.

A la fin du repas, je suis convié à ausculter Dame Flaubert, qui semble en effet avoir les nerfs qui ont été mis à rude épreuve, mais rien qu'un peu de repos et quelques remèdes ne saurait traiter. A la sortie de ma consultation, je suis rattrapé par Dona Alba Maria qui me confie qu'elle tient à me faire rencontrer des gens au plus vite dans la soirée. Quoique fort réticent au début, je me laisse convaincre par cette jeune castillane des plus appétissantes, et je profite de ce temps mort pour aller lire dans la bibliothèque du bâtiment.

Gros événement de la journée : on m'annonce que l'Impératrice Morella de Montaigne arrivera sous peu. Diantre, très problématique pour moi, car je considère que la situation est loin d'être réglée... et qu'elle ne saurait l'être dans les délais impartis avec l'équipe à laquelle je suis assignée.
Gros non événement de la journée : toujours pas de retour de la Ligue quant à mes demandes... Cela n'augure rien de bon.

Bref, la soirée arrive, et j'accompagne donc la jeune demoiselle castillane au rendez-vous. Dans un lieu qui n'est pas si mal famé, je me retrouve dans un... coupe-gorge. C'est le moins que l'on puisse dire. Un organisation criminelle, « Les Corbeaux », qui me semble des plus malveillantes, nous somme de racheter un contrat qu'elle avait avec le Duc, pour un prix exorbitant, pour nous fournir des « informations ». Dans un premier temps, j'essaie de m'en sortir avec une pirouette administrative en leur proposant de rédiger un contrat en bonne et due forme... et je me fais paître aussitôt. Puis, je me permets, avec autant de tact que possible, de remettre en cause la qualité de leurs informations... aussitôt démenti par un rapport complet sur un échec cuisant que je pensais avoir masquer de tous.

Je leur promets un rendez-vous et une réponse sous deux jours. De retour, je convie le Marquis et Dona Maria Alba à me rejoindre dans ma chambre. J'explique la situation rapidement au Marquis pour avoir son avis, et nous convenons qu'il viendra avec moi au prochain rendez-vous afin de discuter le contrat ensemble. Je les convie aussi à ne rien dire à nos autres compagnons.

La journée se passe... « égayée » par l'activité qui règne dans les lieux pour la préparation à l'arrivée de l'Impératrice et les « pitreries » de notre capitaine de barque et de notre apprentie jongleuse.
Arrive la soirée, et j'ai été convié donc au rendez-vous avec les Corbeaux dans la soirée. Je ne trouve pas mes compagnons, donc je me rends seul au rendez-vous... et je rencontre le capitaine Flint sur le trajet... qui se rend au même endroit que moi... Diantre, ces 2 faquins lui auraient-ils vendu la mèche ? Que Dona Maria soit inconsciente, soit, j'en avais déjà eu un aperçu, mais le Marquis... Je vais finir par croire que les seuls membres sensés de l'équipe sont Sir Vladimir Kenchenkov et la Vicomtesse... sauf que, une fois arrivé, la Vicomtesse est « conviée », après nous avoir suivis discrètement, à attendre un peu avec nous à l'entrée du rendez-vous.

O tempora O mores... Que de soupirs que je me dois de réprimer...

Une fois conviée la troupe au grand complet, les Corbeaux finissent de me mettre de mauvaise humeur... Le prix du rachat du contrat est augmenté, soit disant que ma proposition de « vrai » contrat les ai offensés. Puis ils m'annoncent que le contrat DEVRA être partagé par tous, sauf notre ami Ussuran que l'on nous invite à ne pas mettre dans la confidence. Et l'on me fait quelques piques sur le fait que je n'ai pas confiance dans mes collègues de fortune et dans mes incompatibilités avec Mademoiselle Cavaletto que l'on me somme de mettre au courant...
Heureusement, j'ai eu le droit à un moment de répit lorsque le Marquis, bouffi de tout son orgueil, a proposé de racheter le contrat à lui tout seul ET pour lui tout seul. Même si le comportement est odieux, cela m'arrangeait... sauf qu'il fut remis à sa place de la même manière que moi, et je le vis devenir blanc comme un linge.
Terrassé de toute part, je pris part à l'accord collégial sur le contrat. Le Marquis fut d'ailleurs délesté plus que nécessaire, et le capitaine Flint n'aura pas à payer sa part, puisque des dispositions particulières relatives à son « navire » ont été prises.

Le retour se fit, pour ma part, dans le silence, à maudire mes compagnons d'aventure du plus profond de mon âme en mon for intérieur. Arrivé devant nos appartements, je reçois une missive de la Ligue... qui m'informe que le contrat a bien été signé avec l'organisation et que l'on attend un retour de ma part. Et le Marquis m'accompagne dans mon infortune, s'étant déjà trouvé délester d'une forte somme... Enfin, pour lui, il ne s'agit que d'une perte d'argent... Je me retrouve dans un imbroglio qui ne me plaît guère et qui pourrait me coûter assez rapidement ma tête...

Sur ces entrefaits, je vais me coucher, maussade. L'Impératrice arrive bientôt, et il me faudra bien un sommeil réparateur pour retrouver tout l'enjouement nécessaire pour discuter de la mission avec Sa Majesté...
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Lucyfurnu
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Re: Campagne de Horianus : L'aventure Fantastique !

Message par Lucyfurnu »

Journal du Vicomte Marquis de Draughere (session du 8/02 (?))

Comme susdit, toute la garde fut décimée suite à certaines révélations ayant trait à la nature de leur capitaine. Des missives furent trouvées dans ses quartiers nous montrant que cet homme était en réalité un loup-garou qui avait été le coupable de meurtres sanglants et fort peu esthétiques au cours des 10-20 dernières années. On pourra ajouter qu'une certaine familiarité a pu être constatée entre le chef de la milice (dont les hommes sont si radicaux mais si efficaces) et moi-même qui s'expliquera par un passif commun durant la guerre de Castille.

Partie meta :
Pour clarification sur le déroulement de la rencontre : Le marquis s'y rend avec Dame Maria en avance de l'heure convenue afin d'y traiter d'une affaire privée. Sur le chemin, ayant remarqué être suivi par quelqu'un il confronte l'importun pour se rendre compte qu'il s'agit de dame de Bonois qu'il renvois séance tenante à d'autres occupations (de façon certes moins aimable). Lorsque les autres invités (à savoir le capitaine Flint et le docteur... suivis par la vicomtesse...) arrivent, ils trouvent dame Maria sur le seuil et ne retrouvent le marquis qu'une fois à l'intérieur de la pièce. Pour correction : le marquis semble indisposé dès l'arrivée de ses comparses bien que l'éventualité de ne pas avoir l'exclusivité des contacts avec ce groupe d'informateurs l'ai effectivement contrariée.
Ignorance is bliss

La différence entre un méchant et un super-méchant c'est que le méchant bah, il est méchant, et le super-méchant, bah il a fait 8 succès à son jet de panache !

Cordialement,
PS : On dit MONSIEUR Connard !
Verrouillé

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